L'Aquilon part du principe que le verglas perpétuel assiège tous les pays de l'hémisphère nord depuis huit ans. À ce titre, le lecteur est en droit de se demander quel est l'état de l'économie globale. Eh bien voici ma réponse.
Le coût de la vie dans les pays nordiques a grimpé drastiquement au point de faire de tout bourgeois un citoyen banal et de tout homme pauvre un réfugié (dans L'Aquilon, on le comprend grâce aux personnages de l’enseignant et de la psychologue). Les gens très riches ont eu le temps, eux, de quitter vers les pays du sud de l’équateur avant que les prix de départs des avions et autobus soient augmentés à des montants faramineux (style voyage dans l’espace), ce qui est aussi compréhensible dans la nouvelle de l’enseignant.
Les pays d’Afrique, d’Amérique du sud et de l’Océanie ont vu leur rentrée d’argent ridiculement augmenter. Les pays d’Amérique du sud et la Nouvelle-Zélande n’ont pas su comment gérer le tout et ont vendu les terres aux riches à l’acre. L’Australie, seul pays industrialisé ayant été épargné par l’hiver éternel, a approvisionné les nouveaux pays en voie de développement en équipement de tout genre jusqu’à ce que les Américains établis au Brésil relancent l’industrie de l’automobile et des électroménagers.
Quant à l’Afrique, les différentes puissances européennes se sont emparées par la force des pays qui leur plaisaient. Suivant des conflits ou une majorité de la population aborigène fut massacrée, les pays en guerre ont signé des ententes dont les termes sont restés confidentiels. L’Afrique est le plus grand exportateur de sable routier, très apprécié dans les pays nordiques où on l’étend jour après jour dans les rues des villes glacées.
La majorité des objets de consommation électronique est fabriquée en Nouvelle-Zélande, où se terrent les plus grands cerveaux de l’industrie asiatique – et leur main d’œuvre plus qu’abordable. Les Américains leur font bien sûr concurrence, mais n’ont toujours pas appris leur leçon et produisent des articles de qualité similaire à ceux d’avant l’hiver…
C'est à peu près tout pour aujourd'hui. Faites-moi signe si vous voulez plus de détails.
Carl
Le coût de la vie dans les pays nordiques a grimpé drastiquement au point de faire de tout bourgeois un citoyen banal et de tout homme pauvre un réfugié (dans L'Aquilon, on le comprend grâce aux personnages de l’enseignant et de la psychologue). Les gens très riches ont eu le temps, eux, de quitter vers les pays du sud de l’équateur avant que les prix de départs des avions et autobus soient augmentés à des montants faramineux (style voyage dans l’espace), ce qui est aussi compréhensible dans la nouvelle de l’enseignant.
Les pays d’Afrique, d’Amérique du sud et de l’Océanie ont vu leur rentrée d’argent ridiculement augmenter. Les pays d’Amérique du sud et la Nouvelle-Zélande n’ont pas su comment gérer le tout et ont vendu les terres aux riches à l’acre. L’Australie, seul pays industrialisé ayant été épargné par l’hiver éternel, a approvisionné les nouveaux pays en voie de développement en équipement de tout genre jusqu’à ce que les Américains établis au Brésil relancent l’industrie de l’automobile et des électroménagers.
Quant à l’Afrique, les différentes puissances européennes se sont emparées par la force des pays qui leur plaisaient. Suivant des conflits ou une majorité de la population aborigène fut massacrée, les pays en guerre ont signé des ententes dont les termes sont restés confidentiels. L’Afrique est le plus grand exportateur de sable routier, très apprécié dans les pays nordiques où on l’étend jour après jour dans les rues des villes glacées.
La majorité des objets de consommation électronique est fabriquée en Nouvelle-Zélande, où se terrent les plus grands cerveaux de l’industrie asiatique – et leur main d’œuvre plus qu’abordable. Les Américains leur font bien sûr concurrence, mais n’ont toujours pas appris leur leçon et produisent des articles de qualité similaire à ceux d’avant l’hiver…
C'est à peu près tout pour aujourd'hui. Faites-moi signe si vous voulez plus de détails.
Carl
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